Messe du 30 avril animée par l’ACE et la chorale gospel Dzidzole.

La messe du 30 avril a été animé par les enfants de l’ACE et la chorale gospel Dzidzole. Les enfants ont salué l’assemblée en même temps qu’une projection de photos d’activités qu’ils réalisent tout au long de l’année. Celles-ci étaient projetées par Jean-Pierre, notre spécialiste en la matière.

Dans leur mot d’accueil, ils ont mis en avant que depuis le mois d’octobre, et pour la première fois depuis plus de 30 ans, l’ACE, l’action catholique des enfants, propose des animations pour de 8 – 12 ans qui habitent Reichstett ou Souffelweyersheim.

Ils se réunissent le samedi après-midi environ toutes les trois semaines. Ça se passe au foyer Saint Michel, ou quand il fait beau, dans un jardin situé juste à côté. Ils réalisent toutes sortes d’activités, des jeux, et parfois, des sorties ; ils participent aussi à des actions paroissiales comme celle du bol de riz.

Enfin, ils sont à peu près une dizaine d’enfants à chaque rencontre, sachant qu’il y a, en tout, une vingtaine d’inscrits. Le principe, c’est que c’est gratuit et qu’on vient quand on veut. 5 animatrices sont à disposition : Camille, Lisa, Hélène, Marie, Catherine, et parfois Julie.

Contrairement aux habitudes, les enfants ont posé des questions au prêtre au moment de l’homélie :

  • Si Jésus est la porte de l’enclos des brebis, qui est-ce qui est le portier ? et qui est le berger qui entre par la porte ?
  • Qui sont les voleurs ? Est-ce que c’est les même que les étrangers dont parle Jésus ? et pourquoi est-ce que les voleurs viennent tuer les brebis qui ne leur ont rien fait ? Est-ce que c’est juste parce qu’elles ne les ont pas écoutés ?
  • Le portier pousse dehors toutes ses brebis, toutes les siennes, est-ce que ça veut dire qu’il y en a encore d’autres dans l’enclos et qui ne lui appartiennent pas ?
  • Quand les brebis sortent de l’enclos, elles ne risquent pas de se faire attaquer par les bandits ? 
  • Pourquoi Jésus raconte cette histoire de brebis aux pharisiens s’ils ne comprennent rien ?

Le Père Gabriel y a répondu avec toutes ses connaissances théologiques et son enthousiasme habituel.

Enfin, le chant final a été gestué par les enfants face à l’assemblée, point d’orgue festif de cette célébration très vivante.

Un apéritif convivial a clôturé ce temps où chacun a pu être touché par l’amour et la joie du Christ, présent, comme tous les dimanches, au cœur de l’assemblée.

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